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La Révélation d’Arès

La Vérité, c’est que le monde doit changer

Le Livre « La Révélation d’Arès » est né de la retranscription sur le vif des paroles reçues par Michel Potay en 1974 et 1977 lors des événements qu’il subit à Arès, village de France situé à 50 kilomètres de Bordeaux, au bord du bassin d’Arcachon.

Le texte intégral est accessible en ligne ou chez votre libraire.

La Vie qui crée l’univers en permanence s’adresse à l’homme d’aujourd’hui, à l’aube d’un choix décisif pour l’histoire de l’humanité. L’histoire qui se défait appelle une autre histoire, à faire.

Si l’homme ne réveille pas l’intelligence du cœur, les plus tragiques épreuves attendent l’humanité.

Cette métamorphose de l’humanité est à la portée de l’homme.

Le lecteur attentif comprend rapidement que cette Parole de dépassement s’adresse directement à lui. Peu importe ses croyances, ce sont uniquement les actes de bien actif et créateur qui comptent.

Dès les premières pages, ce livre pointe du doigt tout ce qui empêche l’humanité d’évoluer. Il fait table rase de tout ce qui sépare. Face au prêt-à-penser culturel et médiatique, il provoque la réflexion sur ce qu’est l’homme et sa raison d’être. Il rééquilibre la pensée en ouvrant la voie du cœur : il n’y aura pas de bonheur sur terre sans joies partagées.

C’est un message libérateur de toute spoliation, de toute domination et de tout conditionnement de l’homme par l’homme.

Cette Parole permet, à celui qui le choisit, de réveiller au fond de lui la force de création, d’amour et de lumière qui le relie à la Vie.

Je souffle en silence dans leur poitrine.

Elle est une aide précieuse pour comprendre le monde. Elle est comme une boussole pour s’orienter et mener sa voile vers le grand large de la Vie. Elle s’adresse aux hommes qui ont soifs d’avancer.

« De la bête J’ai donné à l’homme
la chair, les entrailles et les os pour échafaudage
à son vrai corps,
aussi léger qu’une fumée pure,
qui ne naît pas du ventre de la mère
mais de la vie de  l’homme déjà né
qui s’engendre lui-même en une autre vie infinie
qu’il bâtit comme un vaisseau pour prendre le large. »
(Révélation d’Arès 17/2-3)

Voici un slam extrait de la veillée 28.