L’amour du prochain est une de ces forces énormes dont l’homme est capable. Cet amour n’est ni un amour de choix et d’attirance, ni un amour d’instinct, ni un amour sentimental. C’est un amour de devoir que l’homme choisit de donner à tous les humains sans exception. Je dois aimer (et donc pardonner, faire la paix avec, etc.) tous les hommes envers et contre tout, y compris ceux qui ne me plaisent pas, ceux qui me font peur, ceux qui me nuisent, je dois aimer ceux qui ont « l’hameçon, le pus, le ver à la lèvre… parce que c’est du fumier que sort le Jardin » (Rév d’Arès xxii/8).
Le Créateur aime tous les humains sans exception : « Il fait lever Son Soleil sur les méchants et sur les bons. Il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. » (Matthieu, 5/44-45). L’homme de bien, le pénitent, ne peut pas faire moins que d’aimer tous les humains sans exception. Si personne ne m’est indifférent. Si j’ai pour tous les hommes la compréhension, la patience, l’écoute et la compassion. Si je vois chacun d’eux comme mon fils, ma fille, ou mon père et ma mère et mieux encore, « comme moi-même » (Lévitique 19/18). Alors, j’ai l’amour du prochain. En relançant l’Amour inconditionnel, « La Révélation d’Arès », nous permet de refaire le pari d’une planète libre et heureuse. Le monde futur sera un monde d’amour ou sera un enfer. Alors, cultivons l’amour du prochain !
Merci Nina et Anne-Claire pour cette création !