Coire que j’ai trouvé ou croire qu’il me faut chercher ?
M’interroger sans cesse pour avancer vers le Bien pour réapprendre que je suis l’image et ressemblance du Créateur (Genèse 1/26) ? Suis-je une machine qui fonctionne ou un enfant de l’Univers qui peut s’il le choisit participer à sa création en permanence, à l’image du Créateur qui ne cesse pas de créer mille nouveaux soleils (Rév. d’Arès XXII/12) ?
Pour y parvenir, le Père redonne sa Parole à Arès pour que je puisse la lire et la relire, pour y réfléchir sans cesse, pour refuser qu’elle soit juste une pensée fugace mais qu’elle puisse prendre racine et devenir en moi comme la vigne bleue (XXXV/8).
C’est une porte qui s’entrouvre devant l’homme qui souvent désespère : « Un sentier vers Eden est possible si je m’y engage ! »