1974, à Arès, petite commune de Gironde maritime, France.

Du 15 janvier au 13 avril, environ un jour sur deux, toujours au milieu de la nuit, Michel Potay est réveillé, appelé à un endroit de sa maison éloigné de sa chambre. Là, il se retrouve face à un homme, lumineux, mais non spectral. Il est robuste, très grand.
La première fois, il pense à un arabe, à un héros biblique du désert : Abraham ? C’est en apercevant les stigmates : un au milieu de chaque avant-bras et un à une jambe, à mi-tibia qu’il réalise qu’il s’agit de Jésus, le ressuscité dans son corps entier transfiguré.
Il va apprendre que Jésus n’est pas Dieu, qu’il n’est qu’un messager du Père. Les premières nuits, impréparé, il note ce que Jésus lui dit sur des sacs de plâtre avec un crayon de charpentier. Il intitulera ce message tout naturellement « L’Évangile Donné à Arès » puisque Jésus en est le héraut.
1977.
Le 2 octobre de cette année-là, toujours à Arès, à quelques 30 mètres du lieu où apparut Jésus en 1974, dans une extraordinaire conflagration surnaturelle et sonore, se dresse sur le sol, un bâton de lumière pas plus grand qu’une canne, mais d’un blanc et d’un éclat qu’il ne peut comparer à rien qu’il connaisse.
De ce bâton ou de sa proximité sort une voix. Il comprendra vite que c’est le Père de l’Univers en personne qui parle, celui qui vit encore après que les soleils s’épuisent et deviennent boue et qui court à travers l’infini toujours prêt à créer mille nouveaux soleils ou étoiles, l’immense Créateur qui s’est réduit, par amour pour l’homme, à la ridicule dimension d’un grand clou parlant.
On appelle théophanie ce type de manifestation divine directe. Sa surprise est totale et son épreuve est si dure que l’émotion et la perturbation causées presque quatre ans plus tôt par l’apparition de Jésus lui semble comparativement douce.
Ces mêmes phénomènes surnaturels se reproduiront cinq fois du 2 octobre au 22 novembre. Son message, grandiose et d’une exceptionnelle force d’évocation, il l’appellera « Le Livre ».

La Révélation d’Arès ne fonde pas de religion.

La Révélation d’Arès est donc la transcription de la main de Michel Potay de deux messages du Créateur, en 1974 par un messager : Jésus, et en 1977 directement par lui-même.
La Révélation d’Arès ne fonde pas de religion. Pour le Créateur, qui parle par La Révélation d’Arès, tout homme de bien, croyant ou non, trouve son salut s’il pratique l’amour, le pardon, la paix, la liberté absolue de tous préjugés et de toutes peurs et l’intelligence du cœur ou spirituelle.
La Révélation d’Arès donne à cette homme de bien le nom de pénitent, mot auquel elle donne un sens dynamique et créateur tout différent du sens religieux. Le sujet comme le langage de La Révélation d’Arès sont on ne peut plus constructif. C’est le projet et la solution de l’avenir.
Retrouver la description complète faites par Michel Potay en ligne.